Le petit fils d’une amie de ma mère qui vit dans le Gard est décédé renversé par une voiture en vélo. L’enterrement a lieu au cimetière de Montparnasse.

C’est maintenant la messe.

Je suis toujours en train de chercher l’ouvre boite qui va me permettre de sortir de ma coquille. A un moment, ça y est le mot arrive dans ma tête, enfin les mots ! Un nouvel eurêka magique.

Il faut penser , « ne pas partir avec », c’est cela la clef. J’ai entendu tellement de fois l’expression « accueillir », surtout avec Jacques de Panafieu, mais cela ne suffisait pas ne me suffisait pas.

Je suis la messe mais dans ma tête c’est celle-là, elle vaut de l’or il ne faut pas que je l’oubli, ce n’est juste pas possible alors je ne cesse de me répéter cette phrase dix fois, vingt fois, probablement plus.

Avec le zen c’est laissé passer les nuages, avec la psychologie humaniste c’est « accueillir » Mais dans certains cas le plus c’est, « ne pas partir avec ».