Progressivement je fais un lien entre ce qui s’agitait dans mon mental et les sensations que je pouvais avoir dans mon corps et que d’une certaine manière je n’avais plus.

Avec mon travail thérapeutique, les sensations désagréable, comme ce mal au ventre dont j’ai parlé mais aussi d’aigreurs d’estomac qui disparaissait et bien d’autres sensations, disparaissait.

Mais ce qui disparaissait c’était ces activité continuelles dans mon mental.

Ma réflexion devient celle-ci, j’en arrive à penser que mon mental essaie de résoudre des problèmes qui s’agitent devant lui mais sans succès, il n’en n’a pas les moyens. C’est par d’autres manières, d’autres techniques que sont résolus ces problèmes et ces techniques touchent ce qu’il y a dans mon corps ce que je sens.

Faire disparaitre des nœuds dans mon corps fait disparaitre mes nœuds dans ma tête.
Je représente ce fonctionnement ainsi, en haut les petites télé, en bas les sensations dans mon corps et entre les deux des antennes qui relient les unes aux autres.

Il y a un grand classique qui revient dans les lectures d’un concept venant à priori d’orient, pour moi appris dans mes lectures sur le zen le « Ici et maintenant » !

Personnellement je n’ai jamais tenu plus de quelques secondes à être ici et maintenant, mon mental repart expresso dans ses routines, et pourtant j’ai passé des heures et des heures à faire des exercices de concentration. Désolé je n’ai pas réussi de cette manière. Rien y fait mon cerveau tourne et il passe d’ailleurs d’un truc à un autre, ce qui n’est d’ailleurs pas toujours inutile.

Par contre logiquement mon j’ai de nœud dans mon corps, mon j’ai mon mental occupé à résoudre des choses dont il est incapable, et donc n’étant moins ailleurs, je suis par défaut plus ici, point barre. Et c’est bien agréable.