Avec ces histoires de vies antérieures, de contact avec tout ce matériel possible, je m’interroge.
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J’ai l’impression que je vais devoir recommencer un immense chemin de thérapie, c’est comme si j’allais en avoir pour trente ou quarante ans à nouveau. Comme s’il fallait que je « recycle aussi toutes mes vie » Ainsi je vais me dire que je n’aurais jamais vécu. Mais je suis toujours aussi radical, s’il le faut, il le faut, je sens cette nécessité en moi.

Je sens, je visualise ainsi, comme tous les gens que j’ai rencontré ou non, je ne sais pas, peut-être des générations et des générations de personnes qui remontent peut-être à la nuit des temps.

Ce sont comme de multiples silhouettes surtout des têtes sans couleurs, dans les gris foncés.

Je leur demande alors « Qu’est-ce que je dois faire ? Est-ce que je dois repartir à zéro pour ce nouveau départ ? »

La réponse arrive immédiatement : « Non, appuis toi sur nous. ».