Centrale nucléaire
Je me promène partout à l’intérieur de mon corps. A la recherche de compréhension.
Depuis des années et des années, mes jambes, mes bras, mon torse, sous mes bras, là je découvre la peur, c’est là où on peut transpirer de peur.
Un jour je vais voir, et ce sera la première et la dernière je me dis, et si j’allais voir dans mon ventre.
Je vais à peine un centimètre. La puissance est juste énorme, voir astronomique, du genre de plusieurs centrales nucléaires. Au bout d’une seconde au maximum je me retire et je n’y reviendras pas.
J’associe rapidement cela à ce que l’on peut dire sur le Hara.
Souvent je m’étais interroger sur l’intérêt de cultiver une force dans le Hara sans penser à ce que cette énergie va se rendre.
Je visualise mon arbre avec ses feuilles, notre culture personnelle.
J’imagine que c’est comme une hélice, je pense à ces hélice colorées pour les enfants, qui ferait que les morceaux de culture orientait nos actes.
Je me dis que ces pales devraient être bien nombreuse pour que cet immense énergie ne s’engouffre pas dans des vus simplifiées du monde.
Aujourd’hui si je pense à une hélice d’avion en métal, faire de la thérapie c’est comme marteler les surfaces des palles pour leur faire aller dans une meilleure direction.
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