Je suis né en France et donc dans une culture occidentale ce qui signifie d’avoir je pense une certaine manière de concevoir les choses. Pour préciser l’époque mon enfance fut en gros dans les années 60. J’ai eu l’impression que dans cette culture que je recevais, il y avait, entre beaucoup d’autres choses, une conception particulière de la perception de nous-même. D’un côté il y avait notre esprit qui pensait, et de l’autre notre corps, pour manger, etc… et probablement d’avoir quelques sensations quand même, ceci sans que je me sois d’ailleurs poser à l’époque la question d’où se trouvait la limite entre penser et sentir. Par contre au cours de mon évolution plus je regardais à l’intérieur de moi-même moins cela semblait très exacte. J’en arrivais même au bout de plusieurs années de recherche au contraire à l’idée que nous pensions avec notre corps et ce beaucoup plus que disséminé dans cette dite culture occidentale.

Je pensais d’une manière assez critique je l’avoue que nous étions très fort pour d’envoyer des fusées dans l’espace, ce que je trouvais génial mais que nous étions en parallèle assez faible (très !) pour ce qui concernait nos comportements et tout un tas de choses qui provenaient de l’intérieur de moi-même. En pratique, je ne trouvais pas beaucoup de solutions efficaces pour mettre fin à des choses désagréables que je pouvais y vivre. Nous étions capables d’étudier des quasars très loin dans l’univers, mais pour ce qui était de savoir ce que pouvait faire comme différence pour notre cerveau entre respirer avec la narine droite ou gauche sur notre cerveau nichts, rien, quedal. N’y voyez aucun esprit critique basique, je suis tellement heureux des progrès fait par l’
Ma vie a fait que j’ai le plus souvent utilisé mon corps comme socle me permettant de réfléchir, de tenter pas mal d’expérimentations…