Mouner
J’ai donc rapproché plusieurs choses. Mon ami dans un café place de la Bastille qui me dit je « meurs » un peu tous les jours, cette expérience de lumière blanche liée à la disparition potentielle de mon identité, et une possible sensation liée à la dissolution des Psycho-Informations (PI).
En ce qui concerne ma peur de disparaitre, j’ai cru comprendre que c’était ce qui pouvait éventuellement nous faire peur dans la mort. Dans mon cas j’y allais un peu trop vite d’un coup.
En pratique pour moi ces mini-morts sont devenues des libérations de possibilités, des nœuds qui se libèrent etc… Donc que du positif. En pratique lorsque j’ai ce genre de sensation c’est plutôt la fête et j’essaie de ne pas manquer de me connecter dessus, un peu comme dans la campagne lorsqu’un oiseau de proie qui tombe à grande vitesse sur un mulot.
J’en étais arrivé à cette phrase, « Quitte à mourir, autant mourir tout de suite ». J’ai cru comprendre que je n’étais pas le seul à arriver à cette conclusion.
Avec les années de cette pratique, je n’ai pas eu l’impression de mourir réellement mais plutôt de faire du nettoyage en moi. Mais associer le terme de mourir chargé de tellement de négatif à ce moment si positif. Alors de guerre las j’ai voulu m’inventer un terme. J’ai pris le « mou » de mourir et pour le ner, je ne voulais pas du terme naitre qui était un peu trop connoté.
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