Problème de vitesse
J’avais lu quelqu’un qui comparait la méditation au fait de passer en cinquième vitesse.
C’est vrai que comme selon JdP je suis rester le pied au plancher jusqu’au crash. Mais cela ne s’arrête pas comme cela.
Maintenant que je commence à m’inscrire dans la matière comme ils disent, j’ai un problème.
Comme je suis dans une situation de vie difficile, financière par exemple, surtout parce que je n’ai pas accès à mes possibilités, enfin mon cerveau gauche pour être efficace ici bas, mon imaginaire lui tourne à fond pour trouver, inventer tout un tas de chose qui me feront gagner de l’argent.
Donc de ce coté avoir une pensée qui fonctionne très vite est rassurant. Je ne parle pas du fait que mes projets ne prennent pas vraiment prise dans la réalité.
Le problème c’est que si je ralentis, ce qui est nécessaire pour entrer dans la matière, c’est une sensation de panique de perdre mon inventeur intérieur à solutions.
C’est vraiment la contradiction.
Voici comme j’ai trouvé à représenter cela.
Prenons un moteur, le cylindre, avec des sortes d’axes qui sortent.
Lorsque l’on est en méditation, j’avais déjà vu que la pensée va à une vitesse proche de la lumière ce qui est très séduisant, je dirais qu’on est dans de la matière très légère. Le moteur peut donc tourner à toute vitesse sans faire face à beaucoup de …
Par contre comme mon moteur descend dans de la matière plus épaisse c’est la panique car il ne peut plus tourner aussi vite. Quand on est dans une situation difficile on a logiquement envie que son cerveau booste.
Néanmoins et logiquement je remarque que d’une part d’avoir été dans cet état de penser est bien pour penser, pas pour agir dans le quotidien et que deuxièmement lorsque mon « moteur » sera dans la gadoue, on dit la glaise, enfin dans mon corps, oui j’irai lentement mais mes barres seront elle en connexion avec cette matière plus épaisse. En simple si mon esprit est bien en phase avec mon corps, oui il a l’impression d’être dans une carriole à bras mais en pratique lorsque mon cerveau va penser quelque chose le geste sera de suite associé.
Donc je vais aller lentement mais faire plus de chose, que rien, et si on met un certain nombre d’action les unes derrière les autres, pour réaliser quelque chose j’irais plus vite qu’en rêvant.
Ca c’est la théorie que j’arrive à me dire. Dans la pratique c’est paniquant de vouloir agir vite avec un cerveau qui passe de la cinquième, si tant est que c’était le cas, à la première.
>>>>>>>> Suite >>>>>>>>>
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