Chronologie

Psycho-informations PI

 

)Pour moi une PIs est un concept que j’ai assis sur les expérimentations décrites ci-dessus. C’est un mot qui me sert d’outil pour mes réflexions. Il me permet de mettre un mot sur des évènements sensitifs intérieures. Je me rends comme de la limitation de cet acte puisque se référer à une sensation liée à une fonctionnalité de mon cerveau n’est pas la même que celle d’une sensation dans mon corps et que j’ai mis pour l’instant tout cela dans une grand container… mais c’était pour moi une étape préalable nécessaire.

Comme dit Bob Dylan dans une de ses chansons, « Man gave names to all the animals ». Sans me référer au message potentiel de sa chanson je me disais que nous avions donné des noms à tous ce qui constitue notre environnement extérieur, et même intérieur avec la médecine. Je trouvais qu’en ce qui concernait notre paysage intérieur mon langage était limité. Si les eskimos ont 31 termes pour distinguer les différentes couleurs de la neige, combien de mots pour nos différentes manières de penser.

Comme il m’a fallu de nombreuses années pour franchir ces étapes, compte tenu du fait que je ne souhaitais pas y passer le reste de ma vie j’avoue que le terme est devenu un peu fourretout sur la fin.

J’ai essayé d’aller au plus loin dans ma logique, en allant jusqu’au bout de cette définition même si totalement imparfaite.
Une PI est :

1) Une zone corporelle perçu comme étant en 3 dimensions et porteuse d’une sensation
2) Dont la caractéristique est d’avoir un échange « dynamique » avec le cerveau au moment où cette sensation entre en contact avec cette sensation.
3) Et qu’il est possible et probable que la respiration simultanée avec ce contact puisse participer à cette dynamique particulière.
4) Ré-intégrations de patterns de pensées d’enfance, qui apporteraient des états d’être plus satisfaisants, libérer de certains apprentissages limitants.

Et éventuellement :

5) Les PIs seraient en partie mémorisées dans notre fascia.
6) Elles pourraient être « décollées » de leur support.
7) Elles pourraient servir d’ordre pour générer une action, voire de permission à l’action.
8) L’énergie viendrait se bloquer sur ces PIs.
9) Une PI traumatique deviendrait résolue une fois qu’elle ait été intégrer après son contact avec notre cerveau et l’acceptation de son contenu.

 

 

Une PI préciserait donc de manière un peu plus pointue le terme « nos mémoires » que j’ai entendu de temps à autre.
Je me suis longtemps posé la question suivante : Y a-t-il deux sortes de PIs. Celles de nos mémoires collées « naturellement » au cours de notre enfance par exemple d’une part et celles liées à un traumatisme d’autre part. Il y aurait les PIs libres et les PIs capturées.

Autre sujet d’interrogation. Disons que j’ai une PI que je juge comme néfaste pour ma vie. Est-il nécessaire de l’intégrer puis de me créer une autre proposition, ou, est-il plutôt stratégiquement plus judicieux de m’implémenter un nouveau comportement qui ferait « tomber » la première PI.

Les avantages qui pourraient être liés à ces récupérations de ces PIs.

– Récupération d’énergie.
– Mise à jour d’anciennes données. Capacité d’évoluer.
– Augmentation du potentiel de choix et d’actions.
– Éventuellement se libérer scénario « négatifs ».

Pendant toutes ces années de recherches et d’observation je n’ai pas cherché à aller voir s’il y avait des informations sur ce que je voyais en moi, ce que j’appelle ces Psycho-informations. Même quand j’ai commencé à pouvoir m’intéresser à ce qui se passait à l’extérieur de moi je n’en ai pas eu envie. Je voulais ne pas être influencé de quelques manières que ce soit.

Finalement lorsque je l’ai fait, en fin de parcours, je n’ai trouvé que ce que certains appellent des « Formes pensées ». Cela ne pouvait être que cela. Forme j’étais d’accord et associées à pensées, je l’étais aussi.

>>>>>>>> Suite >>>>>>>>>