Rolfing
D’après mes connaissances le rolfing était au départ une sorte de massage consistant à faire pressions sur certaines parties du corps pour en libérer les nœuds, cette cuirasse musculaire psycho corporelle décrite par Willem Reich.
Ce travail avait pour but d’agir sur le fascia est un tissu qui enveloppe nos muscles.
Voici un dessin représentatif de ce que j’ai pu voir un jour et qui pour moi pourrait représenter ces mémoires sur le fascia.
En fait, comme mon père recevait Science et avenir j’en avais fait quelques lectures. Dans un de ces numéros il y avait une photo des premiers cristaux liquides cela était proche de ce que j’ai pu entre-apercevoir.
On pourrait dire que plus on a de blocage, plus on a d’énergie bloquée. Et si elle est bloquée à l’intérieur elle n’est pas libre et disponible pour l’action. Donc paradoxalement plus je ressens de l’énergie « bloquée » en moi, moi j’en ai de disponible pour agir. On pourrait peut-être dire que c’est inversement proportionnel, plus de sensation d’énergie moins de capacité à faire.
En suite le rolfing évoluera semble-t-il et deviendra un peu plus « subtile ». Il ne s’agira plus de « tracer des sillons » dans tous le corps mais juste de trouver les points les plus judicieux pour modifier les points de forces dans la structure corporelle, comme sur un jeu de force d’une structure architecturale. L’objectif et d’appuyer juste à un endroit pour que l’ensemble de la structure change son équilibre.
Personnellement je ferais la remarque suivante au sujet de cette technique. Sans parler de ses bénéfices, je dirais qu’elle libère des contenus mémoriels, sans que la personne ne soit nécessairement propre à les intégrer. Dans ce cas l’ancienne structure aura tôt fait de reprendre son ancienne place. Je suggérais qu’il serait peut-être judicieux d’accompagner certaines techniques de travail sur soi corporel de séances d’échanges verbaux, surtout dans notre culture occidentale.
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