Homéostasie
C’est la définition que j’ai trouvée sur Wikipédia.
Je fais le contraire de ce que j’aurais aimé faire, mettre des mots sur une aventure sans mots, dans un pays sans mots.
Mais vu que mes espoirs pour en ramener autre chose, je commence à y trouver un certain bonheur.
Je cherchais un mot qui pourrait définir ce que j’avais en tête mais qui n’avait pas encore de forme, d’expression « littéraire », quelque chose qui parlerait d’un ensemble, quelque chose avec des « frontières », qui serait composé de plusieurs éléments, et qui aurait un certain équilibre, cet équilibre étant plus ou moins continuellement modifié et devant retrouver son équilibre.
Ce qui a l’air de ressembler à cette définition. Mon cerveau gauche n’étant pas encore capable d’aller plus loin qu’une sorte de compréhension de surface, je vais faire avec.
Ce qui allait bien avec ce mot qui m’est arrivé sympathiquement dans ma tête au bon moment. Il y en a peut-être un de meilleur, on verra bien la suite.
Je vais donc me lancer dans une sorte d’essai d’expression de ce que je sens mais aimerait décrire.
Disons que l’ensemble est le corps, les frontières étant la peau. Le mot frontière me plait car il ne définit pas quelque chose d’étanche.
A l’intérieur beaucoup de choses… le tout étant très complexe, et je ne vais pas chercher une perfection englobant toutes ces choses.
Un des points qui me semble important et qui est peut-être le centre de toutes mes années de recherches, observations etc… est ce potentiel élément de Psycho-Information (PI).
Je vais partir de cette analogie avec les bulles de mon bain, voir Bubbles. Lorsque je fais éclater une bulle alors je vois l’ensemble du paquet de bulles ce réarranger dans une nouvelle forme avec un nouvel équilibre.
Dans l’article « Le pont », je parle du lien entre notre corps et la matière de la matière, à savoir son niveau vibratoire et sa conséquence le contact possible avec la souffrance.
Dans « Traverser les murs de pierre », je parle de cette sensation de contact avec ce niveau ondulatoire.
Ce réarrangement ayant donc des répercussions sur notre corps physique d’où lien avec la matière… physiologique, sanguin, hormonale, d’une homéostasie à l’autre, le tout à l’origine de beaucoup de sensations en ce qui nous concerne.
Ce réarrangement peut avoir des conséquences douloureuses par exemple si on modifie par exemple trop de bulles dans notre paquet de bulles. Les réarrangements physiques peuvent se faire sentir jusqu’à pour de très gros avec le niveau moléculaire, et son copain vibratoire…
Il y a donc des réarrangements structurels que j’étudie dans l’article « De l’eau du sel… » avec des répercutions descentes et montantes.
Je rappelle que mon objectif est de dire que de vivre dans un corps avec des frontières et un ensemble de choses continuellement en changement nécessite un réarrangement d’un équilibre pour pouvoir continuer à vivre. L’idée ici n’est pas de parler de nos corps à retrouver continuellement un équilibre biologique, physiologique, qu’étudie la médecine mais de dire qu’il existe un système du même type au niveau psychologique. Toutes les modifications psychologiques ayant un lien avec notre corps, cela selon moi nous concerne dans notre recherche d’une bonne manière de vivre avec soi-même, tout simplement parce que cela peut provoquer des sensations « désagréables » et agréables bien entendu mais celles-ci on ne s’en plaint pas.
Autre objectif, comprendre que le travail sur soi a des conséquences me semblent utile et surtout dans le fait d’avoir peut-être un autre regard sur ces évènements change notre perception de ceux-ci et ainsi d’améliorer j’espère notre plaisir de vivre, diminuer nos inquiétudes et ne pas freiner notre ardeur à vouloir nous transformer, à aller mieux.
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