Le principe du milkshake
Les sujet est celui des psycho informations grosses ou lourdes. Elles peuvent être des nœuds de difficultés ou de lumière, de bonheur. Il n’y a pas que des nœuds de problèmes, il y a aussi ce que je pourrais appeler des petits nœuds de nirvana (petit pour quelque chose d’énorme ça peut donc être gros). Accepter de ressentir de belles sensations peut prendre aussi du temps. Comme si celui-ci pouvait s’écouler comme un liquide venant imprégner une éponge.
En tous cas il y a celles que l’on n’arrive pas à digérer, à dissoudre en une fois. Dans certains cas cela peut prendre des jours, des semaines, des mois ou des années. L’idée est de ne pas se démoraliser. J’ai fait cette analogie avec les milkshake par ce que à l’époque où j’en consommais j’en prenais des versions grande taille et j’avais tendance, une tendance gloutonne, à vouloir les boires à toute vitesse. Le fait est que les milkshake sont fait avec de la glace pilée et probablement à cause de cette eau glacée que j’ingurgitais trop vite je me sentais vite assez mal.
Ce que je veux dire c’est que dans les cas où un sujet fait de la résistance, on peut le « boire » doucement, en un peu plus de temps. Et venir de manière répété dessus au fur et à mesure qu’il se présente.
De plus il peut être un peu brutal parfois de « boire » une Psycho-Information (PI) trop vite, car des répercutions descendantes peuvent avoir lieu, en particulier dans les muscles et les positions du corps. Comme les muscles ont gardé des tensions liées à ces mémoires, au moment où la tension est libéré, le corps se réarrange, alors si on a vidé une Psycho-Information (PI) importante le réarrangement physique est important, ce qui peut être assez douloureux (voir De l’eau du sel… les baguettes etc…). Eventuellement il peut y avoir une dépression à digérer (Voir lavabo dans « Dépression »)
Une autre image que j’ai eu au sujet d’une psycho information qui semblait en béton et ne bougeait pas est celle de l’érosion faite par l’eau. Il suffit de regarder comment l’eau à pu créer des canyons, chaque molécule d’eau pouvant emporter avec lui un peu de terre, de pierre. Cela m’a permis d’avoir un regard positif, gagnant, heureux sur une sensation qui aurait pu sembler désespérant.
Un sujet pourrait être ici abordé, pourrions-nous, digérer, physiquement, une transformation immense, radicale. Même si je n’exclue rien, mon expérience et cette « théorisation » indique non, en tous cas dans le sens on si le « trajet » à faire, la digestion à opérer dépasse nos capacités d’absorbions cela ne me semble pas possible. Il semble qu’il faille plusieurs vies.